Faëlh au printemps dernier

La chance, c'est quelque chose d'aussi fugace que l'émanation d'un gibier par vent d'est, aussi il faut savoir savourer les moments précieux où l'on a l'impression d'avoir la baraka car ça ne dure jamais très longtemps.

De plus, quand la poisse s'en mèle, rien ne s'arrange !

Bref, vous l'avez compris ce fut difficile aujourd'hui, même si les élèves de Manu ont montré comme d'habitude tout leur savoir !

Dans le concours de couples, El Cordobès, Eliott et Gaïac ont assisté impuissants au jeu de leur adversaire. L'oiseau était toujours pour l'autre. Rageant, mais c'est aussi le jeu !

On se dit que la chance va tourner avec Eden. Le chien assure un point. SEF il part au rapport et retrouve le désailé, qu'il rapporte parfaitement. Relancé, il prend connaissance d'un second oiseau et le remonte pour le serrer ... de trop près ! Ah, ces diables de faisans sont retords ; ils piètent comme des malades ou s'envolent sans crier gare !

Démon qui avait démarré un excellent parcours se tape à l'extrémité d'un lacet.

Seul Faëlh sauve l'honneur avec un 2ème prix excellent. Il réalise un joli parcours bien chassant et assure troix excellents points.

La chance n'était pas du côté des couples mais il y a encore les 4 jeunes "G" en solo, alors tout est encore possible. Seulement, voilà quand la malchance se transforme en poisse, ça devient dur !

Manu commence avec Gadjo, qui explore la parcelle de betteraves avec aisance et assurance. Les minutes défilent, le parcours s'allonge mais rien ne vient récompenser ce bel effort.

Un peu intrigré, Manu revient au camion et prépare Gucci tandis qu'un autre concurrent passe son chien avec au final le même résultat ! Une fois découplé Gucci ratisse le terrain avec le même entrain que son frère et connaissant sa puissance olfactive, Manu, se dit que s'il ne trouve rien c'est qu'il y a anguille sous roche, ou pour rester dans le domaine de la chasse, disons un os dans le pâté !

Effectivement, Gucci ne trouve pas davantage d'oiseau que les deux concurrents précédents. C'est trop gros pour tenir de la malchance, Manu est persuadé qu'il y a une autre explication. Celle-ci finit enfin par être connue : les tireurs d'un concours du matin ont guidé les chiens dans deux parcelles proches alors qu'ils n'auraient dû en utiliser qu'une seule !

Averti du problème, l'organisateur s'est confondu en excuses, regrettant cette erreur qui a privé un concours de conditions normales et proposé le remboursement puisque malheuresusement il n'est pas possible de recharger un terrain en cours de journée.

Bref, une journée à vite oublier, mais tout en félicitant Faëlh et l'ami Christian.

Depuis qu'il est devenu champion de gibier tiré, Fédo élargit son registre, à moins que, futé comme il est, il se doit dit qu'avec la baisse des effectifs de gibier naturel, les épreuves allaient devoir élargir la liste des espèces ?

En tout cas, hier lors de l'épreuve de Pontfaverger, le chien a pris un premier point sur renard !

Le fait n'est pas si rare que ça notamment à l'ouverture de la chasse en plaine, mais en trouver encore après 3 dimanches de chasse est quand même révélateur de la forte présence du goupil dans nos plaines, alors que l'on sait que l'essentiel de l'activité de l'animal se déroule la nuit.

On a d'ailleurs coutume de dire que si l'on voit un renard c'est qu'il y en au moins sept !

Là, où il y a encore du petit gibier naturel, tous les témoignages le confirment : les effectifs explosent car la dynamique de colonisation de l'espèce est remarquable : portées nombreuses et très étalées dans le temps !

Toutes les observations le confirment aussi : le goupil n'est pas qu'un chasseur de rats et mulots !

Il suffit pour s'en convaincre d'analyser les "tableaux" des garde-manger découverts au printemps lors des opérations de vénerie sous terre. C'est toujours spectaculaire de voir le nombre de lièvres et de faisans qui composent l'ensemble. Lorsqu'un piègeage sérieux et continu est mis en place, c'est tout aussi spectaculaire de voir remonter les effectifs de lièvre car les courbes des deux populations sont inversement proportionnelles.

Le renard est un aussi opportuniste qui vit souvent à proximité de l'homme, voire même dans les villes (Londres en est le meilleur exemple, mais il y en a aussi dans Paris). Ce que l'on sait moins, c'est qu'il est porteur de différentes zoonoses (maladies transmissibles à l'homme comme l'echinococose alvéolaire par exemple), que l'on peut contracter en ramassant des baies sauvages, champignons, ou en consommant les légumes de son jardin si celui n'est pas clos.

La leptospirose est également une maladie grave, et on étudie actuellement l'implication de l'animal dans sa transmission. Une vaste étude est en cours d'investigation dans 24 départements du nord-est de la France.

En tout cas pour revenir au renard d'hier, félicitations aux chasseurs qui ont prélevé ce renard ainsi qu'à notre Fédo qui a permis de le faire.

Havane, lors de ses premiers arrêts

Mention spéciale pour la benjamine de l'équipe de Buveurs d'air, qui devient trialer, aujourd'hui, après deux "excellents" obtenus en concours ouverts et à l'issue seulement de trois présentations.

Un talent certain et une bonne complicité avec Manu pour parvenir à ce résultat, alors qu'il s'agit encore d'une très jeune chienne puisqu'elle est née l'an dernier.

Légende : Gaïa au printemps dernier

Race à petit effectif, mais non dénuée de talent, les BSG de Manu, viennent de le prouver de la meilleure façon qui soit, c'est à dire sur le terrain.

3 chiens, 3 classements, 2 timbales et ... cerise sur le gâteau l'IT de la journée pour Gaïa, au terme d'un barrage brillant où elle s'est imposée sans discussion. La réserve n'a d'ailleurs pas été attribuée ! Bravo à Manu, sans oublier Sébastien, qui avait préparé la chienne pour les épreuves d'été. Leur travail conjoint trouve ici sa récompense.

Que dire de plus ... Les chiffres se suffisent à eux-mêmes. Et pourtant...

Quel marabout a bien pu se pencher sur la race pour obtenir un tel résultat en une seule journée ? Nul ne le sait, mais Manu sait bien pourquoi il est KO ce soir.

Avec quelle hargne et quel professionnalisme, il les porte à bout de bras "ses petites races" !

Que d'émotions, d'espoirs, de craintes, de déceptions, mais que de joie aussi lorsqu'une série, comme celle d'aujourd'hui, s'enchaîne !

Bravo Gaïa et surtout félicitations à toi, Manu, car un chien, notamment un BSG, a besoin du regard complice et de l'amour de son conducteur pour réussir.

Alors, un très grand merci pour tout ce que tu as fait pour Doubaï, qui t'avait fait découvrir la race et tout ce que tu continues de faire maintenant pour Gaïa, Gwen, Gazelle et donc les BSG, ces braques si peu connus, qui appartiennent pourtant à notre patrimoine cynophile national.

Chapeau l'artiste !

Légende photo : Première timbale pour Gwenn et titre de trialer !

Il est des jours où tout semble possible, même ce qui parait le plus improbable. Ce lundi, à Pontfaverger est de ceux-là. Une journée qui défie les statistiques, une journée à marquer d'une pierre blanche tant la chance avait voulu se conjuguer au talent des élèves de Manu, car nous savons tous qu'il en faut un peu dans chaque parcours !

Cinq chiens présentés dans le premier concours et cinq chiens classés, difficile de faire mieux !

Gwen, la petite saint germain, réalise un bon parcours de quête de chasse, bien dans la note, avec juste ce qu'il faut d'amplitude. Elle prend un point dans une jeune moutarde. L'oiseau s'envole, est tiré mais seulement désailé. La chienne le retrouve et s'en saisit pour le rapporter sans problème. Relancée, elle termine son parcours dans les betteraves en ayant connaissance d'un second oiseau qui piète devant.

Au final, c'est classique mais efficace et surtout ça a plu au juge qui lui attribue le CAC.

Ce second classement lui permet de devenir trialer.

Gaïa, la braque allemand, est en hyper forme et elle affiche ses ambitions dans un parcours très grand et brillant avec la prise d'un point travaillé qui donnera des frissons à son conducteur. Remonter l'oiseau sur plus de 40 mètres sans jamais rien lâcher ni perdre la maîtrise, pour réussir enfin à le bloquer, c'est aussi du grand art. L’oiseau part, est tiré et désailé mais la chienne le rapporte. Au final, ce sera un 3^ème excellent..

Flambeau est tout aussi brillant. Il assure un joli point et termine son parcours sur la terre car le juge veut voir ses allures. Il fera un 4^ème prix excellent.

Havane, la benjamine de l’équipe monte en puissance à chaque sortie. Elle prend 2 points avec un excellent rapport et se classe à l’excellent.

Gazelle, enfin, l’autre saint germain, est aussi beaucoup plus à l’aise. Elle réalise un bon parcours de chasse pratique avec deux points de bonne facture et un rapport dans les règles de l’art. C’est aussi un « excellent » qui récompense sa prestation.

Le second concours se déroule l’après-midi. Il fait très chaud, il n’y a pas de vent et les betteraves sont d’une hauteur telle que… « je ne voyais que la tête de Gaïa » raconte Manu. Gaïa ne se décourage pas pour autant et déroule un parcours brillant, bien étendu. La chienne ne néglige rien et va faire les bordures. Sa concentration est récompensée et elle bloque un oiseau. Manu fait couler mais devant, le fuyard piète comme un malade. Il relance et cette fois, la chienne le serre parfaitement et il décolle. Le rapport est parfait et dans les règles de l’art. Le parcours s’achève ensuite, toujours de façon aussi brillante. C’est un CAC qui vient récompenser sa prestation.

Fédo, le petit breton commence son parcours en assurant un point sur … renard, que les tireurs s’empressent d’occire proprement ! Relancé, il repart sur le même rythme et trouve son oiseau. Arrêt, SEF, rapport, tout est impeccable et bien dans la note, ce qui lui permettra de se classer avec un 2^ème prix excellent.

Fico prend un point dans la minute. C’est brillant et le rapport est excellent mais en revenant le chien se tape dans un faisan ! Dommage car c’était bien parti !

Pas de chance non plus pour Grimm’s, Gabrielle et Flamme. L’absence de vent handicape le travail des chiens.

En bout de lacet, Gabrielle se tape sur une compagnie de perdrix et la même mésaventure survient à Flamme sur un isolé.

Enfin, pour son premier parcours en couple, Epson a montré qu’il était à la hauteur. Il se classe 4^ème excellent avec un rapport vraiment parfait.

Ils ont tout juste un mois et veulent déjà partir explorer l'environnement de la maternité !

Cette portée de hautes lignées de setter anglais est née chez Thierry de Sorbay du mariage de :

Eden de la Chapelle d’Aillet, fils du CHGQ Ussan du Mas d’Eyraud et de Tina de la Mare Tassel

Tr de Grande Quête avec RCACT en Grèce, Tr d’Automne avec RCACIT et RCACT à l’Open de France 2012.

Ce chien a été sélectionné en Equipe de France 2012 pour le Championnat d’Europe GQ 2013 en Grèce .

A ce jour, Eden est classé en France, en Espagne, en Suisse et en Grèce .

En matière de standard, il a été classé Excellent lors de la Nationale d’élevage, à Mauron en 2013

Il est radiographié Dysplasie A et classé Etalon recommandé.

avec :

Afghanne de l’Echo de la Foret, fille de Oural de l’Echo de la Foret CHA (Tr Printemps, Tr Bécasse et Gagnant de la Clochette d’Or ) et de Ukraine 2 de l’Echo de la Foret CHP ,CACT sur Bécasses et classée également sur Bécassines elle est aussi classée lice Elite A .

Afganne est trialer de Printemps avec RCACT, Tr sur Bécassines avec CACIT,

Gagnante de la Goutte d’Eau 2009 , 2010 ( meilleur Bécassinier de France )

Classée Excellente en Exposition lors de la Spéciale de race à Campbon

Elle radiographiée Dysplasie A et c'est une Lice classée Elite A

Elle est issue

 chiots sont nés de cette union, le 31 aout dernier : 5 femelles et 3 mâles, de couleur lémon, qui feront le bonheur de chasseurs ou d'amateurs de fields.

Pour tout renseignement sur cette portée, vous pouvez  contacter Thierry De Sorbay au 06 16 14 23 52 

Légende photo : les héros de Beaumontel : Pauline, Lucas, Gérard, et Florian, sans oublier, Gaïac, la vedette !

Nous l'avons déjà dit, les buveurs d'air, c'est bien sur un chef d'orchestre mais c'est aussi d'abord des musiciens pour former l'orchestre.

Sans l'aide, mais aussi la complicité et l'esprit d'équipe, que Pauline, Aurore, Malthilde, Kyllian, Charly, Florian et Lucas mettent chaque jour en oeuvre, il serait difficile d'obtenir de tels résultats. Aussi Manu est-il fier de partager tous ces moments avec eux.

L'équipe est jeune et motivée, et c'est un plaisir de les voir évoluer.

Ce n'est certainement pas Gérard, le "papa" de Gaïac, qui dira le contraire. Les "manchots" ont chouchouté les jeunes avec les petits plats de Ginette et de son côté Gaïac a donné le meilleur de lui-même.

2 CACT et un IT en 2 jours, difficile de faire mieux à 2 ans !

Légende photo : Gaïac lors d’un concours d’été

Pour cette seconde journée du circuit « betteraves » qui se déroulait à Beaumontel (27), toute l’équipe des buveurs d’air, jusqu’aux plus jeunes, a montré une nouvelle fois ses ambitions.

En solo, Gadjo, a affiché des prétentions dignes de la grande quête, sans pour autant renoncer à chasser. C’était grand, très grand, mais avec trois points et des oiseaux rapportés comme il se doit, difficile de ne pas classer un tel cabot ! Ce sera donc un excellent en raison de l’excès de l’amplitude, mais quel spectacle !

Son frère, Gillepsie, est également très grand mais toutefois davantage dans la note, même si celle-ci est supérieure. Là-aussi, le jeune chien montre ses talents de chasseur en prenant brillamment un premier point. L’oiseau n’est que désailé et il repart à l’arrière. Qu’importe, le jeune chien sait qu’il doit le récupérer et il remplit sa mission. Relancé, il est de nouveau très brillant et verrouille un second arrêt. L’oiseau part, prestement cueilli cette fois et le chien attend sagement pour le rapporter. Au final, ce sera une réserve de CACT bien méritée.

Gucci lui succède avec un parcours classique même si le parcours semble mieux qu’à Cormeilles. Un oiseau, rapporté, un point validé, ce sera un 4^ème prix excellent.

Génépi est également bien dans la note de la discipline, avec un  certain brio qui le conduira au 3^ème prix excellent.

Après son CACT à Cormeilles, Gaïac est passé en couple. C’est la règle chez les buveurs d’air. Dès qu’un chien décroche un CACT, il passe en couple. Ce n’est pas vraiment un handicap puisque tous les chiens y sont préparés dans le cadre de leur entrainement. D’ailleurs, même si le parcours demeure celui d’un jeune chien, dont les moyens vont encore se développer, c’est très brillant. Il assure un joli patron, puis va prendre un point assez loin. Le tout plait bien au juge puisque le CACT et le CACIT viennent récompenser la prestation devant Gérard et Ginette, émus jusqu’aux larmes. On vous l’avait bien dit qu’il n’était pas si manchot que ça Gaïac…

Démon débute un excellent parcours mais s’achève bien vite. Un oiseau dans une roue de traitement au bout d’un lacet y met fin.

Eden est aussi en forme et démarre un parcours de grande classe. Il assure un magnifique point jusqu’au rapport, qu’il refuse obstinément alors qu’il ne présentait pas de difficultés particulière. Ah, ces caprices d’anglais…

Eliott réalise un excellent parcours, assure un point, puis relancé, ne tarde pas à trouver un second oiseau. Arrêt, coulé, envol, tir,… et oiseau désailé qui après la chute s’empresse de filer à toutes pattes, pour le plus grand malheur d’Eliott qui ne parviendra pas à le retrouver.

El Cordobès le retrouvera plus de 400 m en avant, dans la première minute de son parcours. Le fuyard récupéré, Cordo se lâche, trop d’ailleurs, pour rester dans la note de la quête de chasse si grande puisse-t-elle être !

Joli parcours, enfin pour Faëlh, qui prend un  point puis assure un patron. Au final, ce sera un 3^ème prix excellent.

Légende photo : Pascal et Gadjo

Je ne suis pas devenu propriétaire d’un chien de fields par passion, comme beaucoup, mais simplement par amitié.

Eh oui, contrairement à ce que beaucoup pensent, un dresseur peut avoir des amis, en dehors de sa passion.

Bien sûr, je suis bien obligé de reconnaitre que nous ne sommes pas nombreux...

Je suis venu quelques fois aux entrainements, parfois aux concours, pour discuter avec mon ami, pour le soutenir, lorsque les résultats étaient moins là, pour le féliciter aussi lors des grands trophées, mais tout cela, je le l’ai fait pour lui, pas pour ses élèves.

 J’y ai alors rencontré des gens passionnés, que je trouvais peut-être un peu trop passionnés, des fêtards aussi que je trouvais… fêtards !

Et puis, avec le temps, l’envie de partager ces émotions avec eux, plutôt qu’à côté d’eux, d’apprendre la patience lors des mauvais résultats, mais aussi de savourer les instants précieux d’une victoire, est devenu une évidence.

Bon, je soupçonne aussi mon vieil ami et mes nouveaux amis, d’avoir étudié la  « psychologie pour les nuls », et de m’avoir insidieusement injecté le virus… Mais, c’est vrai, qu’il est grand le plaisir de partager avec ce team des 2G, les résultats !

Quel plaisir de recevoir un sms avec : « Gadjo RCAC  et El Cordobès CAC », d’attendre le soir pour avoir le résumé des parcours, de revivre les moments forts de la journée à travers le site, de venir regarder toute l’équipe du camion des buveurs d’air s’entrainer, d’échanger sur tel ou tel chien, de demander des nouvelles de son « chou-chou », ou encore d’avoir l’honneur de lui tirer un oiseau à son arrêt (même s’il a légèrement bougé… Si, si, Manu, c’était pas flagrant, mais je l’ai bien vu* !).  

Et puis, il y a aussi la magie de se retrouver, nous les propriétaires, autour de Manu et son équipe, pour fêter les  bons résultats. J’aime quand cette passion devient collective.

Merci à vous de m’avoir accepté dans votre team. Merci Manu pour ton amitié, avant tout.

Et puis, malgré tout le respect que l’on doit à nos adversaires, il faut que vous sachiez que les hôtes du camion des buveurs d’air, Manu et son équipe sont en grande forme et le team des 2 G monte en puissance. Il faudra donc compter sur nous pendant quelques années… et que de belles journées en perspective !

Longue vie aux 2G, et vive les buveurs d’air !

Pascal

* NDLR : Le Gadjo aussi, il avait bien vu que ce n’était pas le patron aux commandes ! LOL

Le circuit betteraves ne fait que commencer mais les titres tombent déjà chez les buveurs d'air !

Hier, à Cormeilles, chez les britanniques, El Cordobes de Fondjuan, propriété de Dominique Bovet a obtenu le dernier CACT en couple pour homologuer son titre de champion des fields-trials d'automne.

Aujourd'hui, à Beaumontel, ce sont les continentaux qui prennent le relais.

Epson du Coteau de Saveton, qui était devenu champion de printemps, l'an dernier, et avait manqué de peu le doublé à l'automne, vient d'obtenir le CACT qui lui manquait pour son championnat d'automne.

Fédo du Marais du Piat, propriété de Thierry Agaesse, qui avait obtenu 2 CACT et une réserve l'an dernier, n'a pas traîné pour la suite.

En conquérant CACT et réserve lors des fields de Cormeilles et Beaumontel, il devient aussi champion d'automne en ce début de seconde saison.

Bravo à tous et félicitations à leurs propriétaires en les remerciant d'avoir accordé leur confiance à Emmanuel Bourgeois. Ce dernier tient aussi à partager ces titres et d'une façon générale les excellents résultats de ce début de ce saison avec toute son équipe.

Les buveurs d'air, c'est bien sur un chef d'orchestre mais un également un orchestre. Pauline, Aurore, Malthilde, Kyllian, Charly, Florian et Lucas jouent chaque jour leur partition sous la direction de Manu.

Sans cette complicité de tous les instants au service des chiens, rien ne serait possible à commencer par les résultats. L'équipe des buveurs d'air c'est d'abord une équipe jeune et motivée, qui a soif d'apprendre et un maitre de stage qui a besoin de transmettre son savoir pour réussir les défis permanents qu'il se donne. C'est sans doute aussi cet esprit et ce vent de fraicheur, aussi rares l'un que l'autre de nos jours, qui poussent chacun à se surpasser...